BOMBE SALE ? …

Le ministère russe de la Défense a de nouveau mis en garde les États-Unis et la Grande-Bretagne contre l’utilisation probable d’une bombe nucléaire « sale » par le régime de Kiev pour blâmer la Russie. À la suite du ministre de la Défense Choïgou, des conversations téléphoniques avec les collègues américains et britanniques ont été tenues par le chef d’état-major général des forces armées russes, le général d’armée Gerasimov.

Selon le département militaire russe, Gerasimov a eu une conversation téléphonique avec le chef d’état-major de la défense britannique, l’amiral Reydakin, ainsi qu’avec le président des chefs d’état-major interarmées américains, le général Mark Milley. Le principal sujet de discussion était une provocation préparée par l’Ukraine à l’aide d’une charge nucléaire à faible rendement ou d’une bombe nucléaire « sale ».

En outre, la Russie envoie une lettre correspondante au secrétaire général de l’ONU. Dans ce document, Moscou met en garde contre la provocation planifiée de Kiev à l’aide d’une « bombe sale ». Cela a été confirmé par le premier représentant adjoint de la Fédération de Russie auprès du Conseil de sécurité de l’ONU Polyansky. La Russie a également averti l’Occident qu’il ne fallait pas ignorer les avertissements de Moscou, cela pourrait conduire l’Occident à franchir la ligne rouge avec ses actions.

Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a déclaré que la Russie avait des preuves que Kiev planifiait une provocation avec une bombe nucléaire, et toutes les déclarations des politiciens occidentaux selon lesquelles le régime de Zelensky ne prépare rien sont sans fondement.

Pendant ce temps, la vague soulevée par la Russie a déjà contraint les fonctionnaires militaires occidentaux à réagir. Ainsi, le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg, a déclaré qu’il ne croyait pas à la création d’une bombe nucléaire par l’Ukraine, le Pentagone a également nié qu’un tel travail ait été effectué par Kiev. Dans le même temps, aucune preuve du contraire n’a été présentée.

https://fr.topwar.ru/203924-nachalnik-gsh-vs-rf-gerasimov-provel-telefonnyj-razgovor-s-britanskim-i-amerikanskim-kollegami-po-povodu-grjaznoj-bomby.html

Sputnik avertit : Une provocation nucléaire sous fausse bannière est planifiée par Kiev

Selon ce média réputé, Kiev est en train de construire une bombe sale qu’elle prévoit d’utiliser pour « lancer une campagne anti-russe mondiale visant à saper la confiance en Moscou ». Ils ont ajouté que cela « suscitera une réaction extrêmement négative de la part de la communauté internationale. En conséquence, Moscou perdra le soutien de nombre de ses partenaires clés, tandis que l’Occident tentera à nouveau de soulever la question de priver la Russie du statut de membre permanent du Conseil de sécurité de l’ONU et d’intensifier sa rhétorique anti-russe ». Compte tenu de la gravité des enjeux, tout cela doit être pris très au sérieux.

Prise de conscience …

La Serbie se rêveillerait-elle et avec elle l’ensemble des pays baltes ? C’est ce que je pense aux travers des articles lus depuis le conflit ouvert le 24 février dernier.

Je fais un copier/coller de l’article publié sur RI par « Vive la révolution » le 12 octobre .https://mai68.org/spip2/spip.php?article12877

Le conflit en Ukraine n’est pas comparable aux guerres menées par les États-Unis loin de leur sol, a déclaré le célèbre réalisateur serbe, Emir Kusturica, à Sputnik. Washington est en train de mettre l’Europe à genoux à travers la crise énergétique, ajoute-t-il.

L’avancée de l’OTAN jusqu’aux frontières russes explique en partie la réaction de Moscou et le conflit en Ukraine, a affirmé à Sputnik le réalisateur serbe, Emir Kusturica. La situation ne ressemble en rien aux multiples guerres que les États-Unis ont alimentées en dehors de leur sol, a souligné le metteur en scène aux deux palmes d’or.

« La Russie répond à la menace de l’OTAN à ses frontières, tandis que les États-Unis mènent constamment des guerres, pour assurer le soutien du dollar et de leur industrie. Ces conflits sont incomparables : la tentative de la Russie de protéger des personnes sur leur territoire de résidence n’est pas la même chose que des « incursions » à 10 000 kilomètres de chez soi, afin de s’emparer des gisements de pétrole et de s’assurer une existence confortable », explique-t-il.

L’Europe piégée par les États-Unis ?

Alors que l’Europe s’apprête à passer un hiver délicat en matière énergétique, Emir Kusturica pense encore que Washington n’y est pas pour rien. Le réalisateur accuse les États-Unis d’avoir coupé le Vieux Continent des hydrocarbures russes, notamment par le sabotage des gazoducs Nord Stream.

Dans le même temps, les États-Unis ont doublé ses propres approvisionnements. Une manière de « changer la direction des flux », tout en laissant l’Europe sur le carreau, déplore le metteur en scène.

« Les Américains ont fermé toutes les voies d’approvisionnement en gaz et pétrole russes, tant par des actes politiques que techniquement par le sabotage de Nord Stream […] Une réorganisation complète du monde est en train de s’achever, dans laquelle l’Europe peut non seulement ne pas gagner la guerre, mais perdre tout ce qu’elle avait », affirme-t-il ainsi.

Ces dernières semaines, plusieurs observateurs avaient déjà souligné que Washington avait tout à gagner à une crise énergétique en Europe. De quoi alimenter les soupçons quant à une implication dans le sabotage du Nord Stream.

Le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes.

La guerre en Ukraine est devenue le lieu d’un affrontement global entre la Russie et les USA, en tant que puissance centrale et dominante de l’Occident, coalisé sous la bannière de l’Otan, qui se déploie de plus en plus ouvertement et cyniquement, sur le terrain, en termes d’engagements techniques, matériels, et même humains, sous l’uniforme des mercenaires.

Dans cette guerre l’armée ukrainienne n’est plus qu’une armée supplétive des intérêts mondialistes, qui n’ont aucun rapport, sauf antagoniste, quant au fond, avec les intérêts nationaux de l’Ukraine.

Pour atteindre leurs buts de guerre, dont le démantèlement de la Fédération de Russie, dont ils veulent briser la volonté d’indépendance, les mondialistes sont prêts à creuser encore davantage la crise économique mondiale, y compris au détriment des pays européens et de leurs populations.

Tout en profitant cyniquement des opportunités de spéculations et de trafics en tous genres qu’occasionne la guerre, ils en profitent en outre pour en faire payer le prix aux classes populaires et prolétariennes, en termes de restrictions et de nouveaux reculs sociaux, plus drastiques que jamais.

Mais ce n’est qu’en dissimulant leurs buts de guerre réels et en les présentant comme une « lutte de Résistance du peuple ukrainien » qu’ils peuvent imposer ces restrictions et ces reculs sociaux aux populations européennes.

article complet https://mai68.org/spip2/spip.php?article12702

BIS REPETITA

https://encyclopedia.ushmm.org/content/fr/film/books-burn-as-goebbels-speaks

Le 19 mai 2022, le ministère ukrainien de la Culture et de la Politique de l’information a ordonné à l’Institut ukrainien du livre de détruire tous les ouvrages édités en Russie, publiés en langue russe ou traduits de la langue russe.

Selon la directrice de l’Institut du livre et ancienne présidente du Forum des éditeurs, Oleksandra Koval (photo), il s’agit de détruire au minimum 100 millions de livres qui véhiculent le Mal. Certains ouvrages seront conservés par des bibliothèques universitaires pour être étudiés par des chercheurs sur l’origine du Mal.

Cet autodafé s’applique à tous les classiques de la littérature russe de Alexandre Pouchkine à Léon Tolstoï en passant par Fiodor Dostoïevski.

Poutine salue la «libération de Marioupol»

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/international/97978-forces-russes-controlent-integralite-marioupol-exception-azovstal

Pour ceux qui ne pourront pas accéder au site RT , je fais un copie/coller du texte de référence.

La Défense russe a informé Vladimir Poutine que l’intégralité de la ville de Marioupol était sous contrôle des forces russes et de la RPD. L’usine d’Azovstal, où plus de 2 000 combattants ukrainiens sont retranchés, devrait être assiégée. Ce 21 avril, le ministre russe de la Défense Sergueï Choïgou a informé le président Vladimir Poutine que les forces de la Fédération de Russie, et de la République populaire de Donetsk (reconnue par Moscou) contrôlaient l’intégralité de Marioupol, à l’exception du site industriel d’Azovstal. Plus de 2 000 combattants des dernières formations nationalistes encore présentes dans la ville y sont retranchés, selon les informations communiquées par Sergueï Choïgou, qui a précisé qu’environ 4 000 combattants ukrainiens et mercenaires étrangers avaient été éliminés lors de l’offensive russe et qu’environ 1 500 s’étaient rendus. Poutine suspend l’assaut sur Azovstal Qualifiant de «succès» la «libération de Marioupol», Vladimir Poutine a néanmoins jugé «inopportune» la proposition de son ministre de prendre d’assaut le site d’Azovstal. «J’ordonne de l’annuler», a affirmé le chef d’Etat, réclamant en revanche que la zone continue d’être assiégée afin que personne ne passe. «Fermez cette zone industrielle pour qu’aucune mouche ne passe», a ainsi lancé Vladimir Poutine. Appelant à préserver la vie et la santé des soldats russes, le président a estimé qu’il n’était pas «nécessaire d’entrer dans ces catacombes et de ramper sous terre en-dessous de ces infrastructures industrielles». D’après les autorités ukrainiennes citées par l’AFP, plusieurs centaines de civils se trouveraient dans l’ancienne usine avec le 36e bataillon de l’armée ukrainienne et le bataillon néonazi Azov, les deux dernières unités combattantes à Marioupol. Sviatoslav Palamar, commandant adjoint de ce bataillon intégré à la Garde nationale ukrainienne, avait fait savoir tôt le 21 avril qu’ils étaient prêts «à quitter Marioupol avec l’aide d’un tiers», munis de leurs armes. En marge de la prise de cette ville stratégique, située entre Donetsk et la Crimée, la Russie avait multiplié les appels à déposer les armes. Une position que Vladimir Poutine a réitérée lors de sa réunion avec le ministre de la Défense. «Une fois encore, demandez à ceux qui n’ont pas encore déposé les armes de le faire. La Russie garantit de leur préserver la vie et de les traiter de manière digne, conformément aux actes juridiques internationaux correspondants. Tous ceux qui ont été blessés bénéficieront d’une assistance médicale qualifiée», a précisé Vladimir Poutine. 142 000 civils évacués selon Moscou Selon Sergueï Choïgou, plus de 142 000 civils ont pu être évacués de la ville malgré l’opposition des combattants ukrainiens et l’ensemble des otages ont été libérés. Le 24 février, Vladimir Poutine avait annoncé le début d’une opération militaire visant à «démilitariser» et «dénazifier» l’Ukraine, ainsi qu’à venir en aide aux populations du Donbass, dans l’est de l’Ukraine. Après s’être déployées en de nombreux pans du territoire ukrainien, les forces russes ont récemment annoncé la deuxième phase de cette intervention, à savoir une concentration de l’effort militaire dans l’est du pays, que Moscou souhaite «libérer». Peu avant le lancement de l’offensive russe, Vladimir Poutine avait reconnu l’indépendance des Républiques populaires de Lougansk et Donetsk, qui avaient fait sécession en 2014, refusant de reconnaître les autorités de Kiev issues du coup d’Etat. L’intervention russe est dénoncée comme une guerre d’invasion par le pouvoir ukrainien et ses alliés occidentaux, qui ont multiplié les sanctions contre la Russie. Moscou affirme cibler exclusivement les infrastructures militaires mais est accusée par les Occidentaux de cibler les civils, et même d’être responsable de crimes de guerre. La Russie accuse elle aussi les forces ukrainiennes de crimes de guerre, ainsi que d’utiliser la population comme bouclier humain. Dernier exemple en date, ce 21 avril, au cours de l’inspection de l’hôpital N°4 de la ville de Marioupol, les enquêteurs militaires russes ont affirmé avoir découvert 26 corps sans vie de civils. Selon les autorités de la République populaire de Donetsk, alliée de Moscou, il s’agirait de victimes des bombardements effectués par le bataillon Azov.

Zelensky met l’opposant ukrainien Medvedchuk aux enchères avec la Russie : aucune réaction internationale

Certes, il s’agit d’une mise en scène, inhumaine, mais étant ukrainien, il a évité les tortures infligées aux militaires russes. Toutefois, le silence de la bonne conscience internationale est assourdissant. Medvedchuk est présenté comme un « proche de Poutine », aucun mot sur son opposition politique à Zelensky. C’est beaucoup plus confortable. Cela permet de ne pas parler de son visage … Cela permet de légitimer.

Un pays interpelle un opposant … et silence. Un régime inflige des traitements violents à un prisonnier politique … et silence. Un président diffuse sur les réseaux sociaux une photo dégradante d’un prisonnier politique, se vante et marchande son échange avec un pays contre lequel, formellement, il est en guerre … et silence.

Medvedchuk est effectivement un proche de Poutine, comme Koudrine par exemple ou Ksénia Sobtchak, mais il est Ukrainien, n’est pas particulièrement pro-russe, ne se bat pas pour la Russie. Depuis quand met-on aux enchères ses opposants ? L’on peut échanger des prisonniers de guerre, mais Medvedchuk est un prisonnier politique, et un ressortissant ukrainien – c’est un problème intérieur. Ce serait plutôt à ces gendarmes français, sur place actuellement, en train d’enquêter sur les crimes de guerre en Ukraine, de se pencher sur la question des prisonniers politiques, des répressions contre l’opposition politique, des mauvais traitements infligés aux prisonniers en Ukraine. Non, cela ne les intéresse pas ? Pas plus que la si démocrate et libérale communauté internationale ?

Quelle surprise, vraiment, je suis extrêmement surprise de cette désertion morale de nos dirigeants …

Article RI : https://reseauinternational.net/zelensky-met-lopposant-ukrainien-medvedchuk-aux-encheres-avec-la-russie-aucune-reaction-internationale/

Le paradoxe de l’Ukraine

Avec l’élection de Zelesky à la présidence de l’Ukraine, une étrange situation (le terme est faible…) à vu le jour : un représentant de la religion Juive dans un pays franchement le plus « nazi » de l’europe !

Célébrant Stephan Bandera depuis la pseudo révolution dites « du Maïdan »,l’Ukraine est retombée dans ses délires nazi. Bandera et son régiment furent la main tueuse de l’Allemagne du chancelier Hitler durant la WW2 dévastant l’Ukraine et la Pologne,tuant tous les Juifs qui se trouvaient sur leur chemin. ET je m’étonne toujours de l’amitié Ukraino-Polonaise depuis l’élection de Poroshenko …

Plusieurs villes à travers l’Ukraine portent le nom du collaborateur nazi Stepan Bandera qui, avant l’arrivée au pouvoir de Poroshenko, était ouvertement glorifié seulement dans l’ouest du pays.

Article : https://reseauinternational.net/zelensky-le-nouveau-president-juif-dukraine/